Une Nymphe Amie d’Enfance
Les signification de « la nymphe » ainsi que des « mécanismes de la jeune fille», écrivait Aby Warbug, semblent se rattacher aux menaces des mystères déchainés, sacrifiés au rationalisme et a la technologie. Mobile et érotique, la « Nymphe » n’est pas seulement en rupture avec la pesante atmosphère de la productivité et ses incohérences économiques. A l’encontre de la psychologie traditionnel qui traite « la jeune fille » comme un ensemble des choses intéressantes , mais closes sur elle-même mais parfaitement adopté a la destruction massive du monde conformiste, avant de devenire « une veritable arme d’appartement » comme le remarque Martin Kippenberger. Cette recherche attribue une importance décisive au problème plus subtile que pose la désintégration du monde par la « Nymphe» et de la désintégration de la « Nymphe » par monde. L’ouvrage réunît une documentation remontant jusqu’à des origines païenne, en passant par des bacchantes et des Médées déchainées de la renaissances, jusqu’à le dix-neuvième siècle balzacien, le pied de la Belle Noiseuse, qui émerge du chaos jusqu’aux Nymphes modernes et contemporaines.
Ensuite nous retrouvons l’image de la Femme Fatale, culminant avec Hady Lamar, ses inventions, par la Femme fatale ou Nymphes va défier toute règle morale et rationnel,… en passant par quelques évocations plus ambiguës de « Nymphe » contemporaine deguisé en « garçon timide » comme la décrivait Louis Scutenaire : «… si lente qu’on pourrait la croire embarrassée dans sa marche, souvent elle s’arrête, regarde autours d’elle, repart doucement le menton levé. Et non forcement dans un grand jardin ensoleillé, mais sur un trottoir un peu triste, le long des murs de briques sang par exemple d’un hôpital de fou , sous un nuages, ou comme hier , se promenant avec son grand père au bord de d’une vielle vois ferré… »
